Un missile iranien de croisière de type Hoveizeh, d’une portée de plus de 1 300 kilomètres, le 2 février 2019. Je pensais que le bateau était coulé. Le 22 avril, un missile s’est écrasé dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël, à quelques kilomètres d’une installation nucléaire. Surtout, ses missiles n’ont jamais eu une telle portée ni poursuivi leur trajectoire si loin sans être intercepté. Le quotidien anglophone fait référence aux vives tensions qui opposent Israël à l’Iran. Le site Internet de Canal 12 a rapporté « qu ‘un navire baptisé Lori appartenant à une société israélienne a été attaqué par un missile dans la mer d’Arabie ». Dans le passé, la plupart des tirs venus de Syrie ont été interceptés par le bouclier antimissile «Dôme de fer», sans atteindre le sud du pays, où se trouvent des installations stratégiques comme la centrale de Dimona. Les récits contradictoires et les déclarations menaçantes qui se sont succédé de la part des acteurs impliqués indiquent en tout cas que chacun cherche à brouiller, au moins, une partie de la vérité. Car si la DCA syrienne tire régulièrement sur les chasseurs israéliens, lesquels mènent tout aussi habituellement depuis des années des raids contre des positions de milices pro-iraniennes en Syrie, elle provoque rarement des dégâts. Une attaque imputée à Israël par Téhéran. En Israël, le tir n’aurait provoqué ni victimes ni dégâts. Les attaques en Irak ont été rendues possibles par la priorité donnée par le régime, depuis 1979, au développement d’un impressionnant arsenal. Les déclarations iraniennes belliqueuses se sont d’ailleurs multipliées jeudi. Israël, ouvertement hostile à un retour à l’accord sur le nucléaire iranien de 2015 dont les Etats-Unis s’étaient désengagés en 2018 sous la présidence de Donald Trump, n’a pas confirmé son implication dans le sabotage de Natanz, intervenu alors que des efforts diplomatiques ont lieu à Vienne pour remettre sur les rails cet accord. L’annonce faite par Téhéran de l’enrichissement de son uranium enchante les conservateurs, Nucléaire. Ce tir de missile syrien interpelle d’autant plus que selon l’agence Reuters, la défense aérienne aurait été récemment renforcée autour de Dimona et de la mer Rouge, face à la menace croissante de forces pro-iraniennes. Un nouvel épisode inquiétant dans la guerre de l’ombre entre Iran et Israël. Cette escalade survient au moment où l’Iran négocie à Vienne avec les puissances mondiales pour sauver l’accord nucléaire conclu en 2015, et à l’agonie depuis le retrait des Etats-Unis sous Donald Trump. Selon des témoins locaux, des explosions ont été entendues, puis les sirènes des raids aériens ont retenti, autour du village d’Abou Krinat dans le Néguev, situé à quelques kilomètres de Dimona, où se trouve le réacteur nucléaire israélien. La réaction syrienne est venue peu après, par l’agence officielle Sana, citant une source militaire : «L’armée israélienne a lancé des missiles depuis le plateau du Golan vers des positions dans les environs de Damas. Menaces sur Israël et «des gouvernements alliés» de l'Amérique. Notre batterie de défense antiaérienne a intercepté des missiles et fait chuter la majorité d’entre eux dans cette agression qui a causé des blessures à quatre soldats et quelques dégâts matériels.». Si le missile avait frappé l’intérieur de l’installation [de Dimona], les Israéliens se seraient éveillés sur une tout autre réalité.”. Présentée comme une installation civile par les Israéliens, qui ne reconnaissent pas officiellement posséder d’arsenal nucléaire, Dimona est connu comme la pièce maîtresse d’un programme d’armes nucléaires non déclaré. Un soldat israélien tient un morceau de débris avec un masque après qu'un missile lancé depuis la Syrie a atterri à proximité du site nucléaire de Dimona dans le sud du désert du Néguev en Israël, ce jeudi. Selon un premier communiqué officiel de l’armée israélienne, «un missile sol-air identifié comme provenant de la Syrie est tombé dans le Néguev. Selon un communiqué de l’armée israélienne, mentionné par le quotidien Haaretz, le missile syrien de type SA-5, qui visait un chasseur israélien, a manqué sa cible. Un porte-conteneurs appartenant à une société israélienne aurait été visé par un missile iranien, relate la chaîne israélienne Canal 12. D’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), les frappes israéliennes ont détruit des batteries de défense antiaériennes à Dmeir, une ville située à 40 kilomètres au nord-est de la capitale syrienne Damas, où seraient entreposées des armes appartenant à des milices pro-iraniennes. (Ahmad Gharabli /AFP). L’armée israélienne a ouvert une enquête. Qualifiées jusqu’à présent de «constructives», les négociations portent à la fois sur le retour de Washington dans l’accord, la levée des sanctions américaines et le respect par Téhéran de ses engagements en matière nucléaire. La stratégie d’isolement de l’Iran est un échec, Découvrez toutes nos offres d'abonnement à partir de 1€, Créez votre compte pour profiter de l'édition abonnés sur le site et les applications. Il a été tiré depuis la Syrie, où son ennemi juré iranien est massivement présent, et n’a pas été intercepté par les systèmes de défense. «Ce qui s’est produit près de Dimona est un message à Israël que ses sites sensibles ne sont pas à l’abri. Le 22 avril, un missile s’est écrasé dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël, à quelques kilomètres d’une installation nucléaire. Découvrez tous nos hors-séries, livres, DVD, accessoires, produits... précise le quotidien israélien dans un autre article. L’Etat hébreu a riposté à un missile tombé près d’une centrale nucléaire dans le désert du Néguev. La chute d'un missile tiré de Syrie près de la centrale nucléaire israélienne de Dimona dans le désert du Néguev, suscite inquiétude et interrogations. Une vidéo tournée en ville. Cette décision aurait été prise après l’opération de sabotage ayant visé le 11 avril le complexe nucléaire de Natanz, en Iran. A la suite des doutes autour du récif officiel émis par certains médias et experts, le ministre israélien de la Défense, Benny Ganzt, a annoncé jeudi matin une enquête pour comprendre pourquoi la défense israélienne n’avait «pas réussi» à intercepter ce missile syrien. Créez votre compte pour accéder à l'édition abonnés. Un missile eco+ Ils ont tiré avec un lance pierre . Le président ukrainien avait demandé aux Etats-Unis, au Canada et à Royaume-Uni les éléments indiquant, selon eux, que l’avion avait été abattu par un tir de missile sol-air iranien. «Que celui qui commet le mal s’apprête à subir les conséquences», a martelé un responsable des Gardiens de la révolution, en allusion à l’attaque de la centrale de Natanz. «L’entité sioniste doit savoir que la résistance est solide», a déclaré le commandant adjoint de la force Al-Qods des Gardiens de la révolution, Fellah Zadeh, évoquant ouvertement la destruction de l’Etat hébreu. Israël, ouvertement hostile à un retour à l'accord sur le nucléaire iranien de 2015 dont les Etats-Unis s'étaient désengagés en 2018 sous la présidence de Donald Trump, n'a pas confirmé son implication dans le sabotage de Natanz, intervenu alors que des efforts diplomatiques ont lieu à Vienne pour remettre sur les rails cet accord. Téhéran, acculé sur sa ligne de défense, a avoué qu'un tir de missile était bien à l'origine du crash de l'appareil, thèse privilégiée par plusieurs pays. En revanche, l’arrivée du missile sur le sol israélien montre que si l’Iran voulait attaquer Dimona, il en aurait la capacité. Il a été tiré depuis la Syrie, où son ennemi juré iranien est massivement présent, et n’a pas été intercepté par les systèmes de défense. L’Iran annonce qu’il va enrichir de l’uranium à 60 %, les négociations à Vienne sous tension, Décryptage. Mais provoquer une catastrophe n’est pas l’objectif», a indiqué une source iranienne. Dans ce contexte, note The Jerusalem Post, le quotidien conservateur iranien Kayhan avait publié un article d’opinion dont l’auteur suggérait que l’installation de Dimona pourrait être visée en guise de représailles après l’attaque de Natanz. Ou s’il s’agit d’un dérapage moins contrôlé que d’habitude dans la guerre de l’ombre à laquelle se livrent l’Iran et Israël, à partir du territoire syrien. Créé en 1932 sous le nom de The Palestine Post par Gershon Agron, “Le Courrier de Jérusalem” bénéficia, jusqu’en 1989, d’une réputation d’indépendance et de sérieux. Les interrogations n’ont pas tardé à surgir sur un missile sol-air tiré du sud de Damas et tombé 300 kilomètres plus loin, dans le sud israélien. Pour Tel Aviv, le missile sol-air ne visait donc ni Dimona, ni la centrale nucléaire. Un pétrolier iranien a été la cible, samedi, d'une attaque au large de la Syrie qui a fait trois morts et touché l'un de ses réservoirs. Etant donné que des dizaines d'installations nucléaires sont éparpillées sur l'ensemble du vaste territoire iranien, ... lancées sur Israël. Mais si l'on tape "Khamenei missile" sur Twitter, on trouve rapidement des tweets mentionnant les deux photos, celle modifiée et celle de 2014. Les systèmes d’interception de l’Etat hébreu ayant échoué à l’abattre, il s’est écrasé près de Dimona. L’État hébreu a riposté en effectuant des frappes aériennes près de Damas. Face à cette menace, l’État hébreu mène régulièrement des frappes contre les positions pro-iraniennes. Mais, selon Tsahal, précise le quotidien israélien dans un autre article, le missile n’était pas dirigé contre le réacteur nucléaire de Dimona, il s’agirait d’un “missile perdu”. ayant visé le 11 avril le complexe nucléaire de Natanz, Washington donne des gages à l’Iran pour le dégel. Tirs de missiles iraniens : les Etats-Unis « prêts à la paix », selon Trump. Ennemi juré d’Israël, l’Iran est présent dans la Syrie voisine avec des troupes et des forces paramilitaires alliées comme le Hezbollah libanais. Un navire israélien a été endommagé par un missile iranien en mer d'Arabie jeudi, a rapporté la chaîne israélienne privée Channel 12. Pour The Jerusalem Post, cette attaque de missile, que le journal israélien décrit comme un “incident sérieux et inhabituel”, “résume toutes les peurs d’Israël” et “illustre à quel point la bataille est dangereuse”. En représailles, l’armée israélienne a frappé la batterie depuis laquelle le missile a été lancé et d’autres batteries syriennes de missiles sol-air». D’autres sources ont également fait savoir que le missile n’était pas un sol-air mais un Fateh 110 sol-sol pouvant porter des charges explosives puissantes. Ce tir de missile intervient onze jours après une opération de sabotage contre l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz, en Iran, opération que Téhéran attribue à Israël et a promis de “venger”. Le président américain Donald Trump, qui fera une déclaration mercredi matin, a laissé entendre que le bilan n’était pas très lourd Le plus inquiétant, souligne le journal, c’est que les systèmes de défense aérienne “ont été incapables d’intercepter” le missile. L’armée iranienne revendique le lancement d’une douzaine de missiles sur les bases d’al-Assad et d’Erbil en Irak. L’État hébreu est ouvertement opposé à une remise sur les rails de l’accord sur le nucléaire iranien faisant en ce moment l’objet de discussions diplomatiques à Vienne. Israël a toujours affiché sa vive hostilité à cet accord, que certaines parties iraniennes, notamment la frange la plus dure des conservateurs, souhaitent également torpiller. L'avenir de l'accord sur le nucléaire iranien était de plus en plus incertain samedi, le président américain Donald Trump le jugeant remis en cause par un nouveau test de missile de Téhéran. «Israël agrandit Dimona, la seule usine de fabrication de bombes nucléaires de la région», avait ainsi déploré début 2021 le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif, commentant les importants travaux de construction réalisés sur le site par Israël. En plein bras de fer israélo-iranien, le tir venu de Syrie a valeur de symbole. Après l’incident nucléaire, l’Iran montre les muscles face à Israël, Nucléaire. Accusant les Israéliens de «désinformation», certains médias iraniens ont qualifié leur version des faits de «comique». Une vidéo vérifiée par le New York Times semble montrer un missile iranien frappant un avion près de l’aéroport de Téhéran. Enfin, cette vidéo a été vue plus de 90 000 fois sur Twitter. Une quinzaine d'attaques à la roquette ont déjà visé des soldats et des diplomates américains en Irak depuis la fin octobre. AA/Jérusalem. Dans la nuit du mardi 21 au mercredi 22 avril, un missile sol-air, tiré depuis la Syrie, a atterri non loin du complexe nucléaire stratégique de Dimona, dans le désert du Néguev, située dans le sud d’Israël, sans faire de victimes. Zelensky doit par ailleurs s’entretenir sur le sujet à 14h heure belga avec le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo. Bien marqué à droite dans les années 1990, il défend, Tensions. Des caches d’armes découvertes sur le terrain ont ainsi permis de découvrir un grand stock de roquettes de fabrication iranienne. Un des soldats blessés serait mort, assure l’OSDH. Difficile de savoir si l’on est passé à côté d’un accident grave dans la nuit de mercredi à jeudi quand un missile, parti de Syrie, est tombé non loin de la centrale nucléaire israélienne de Dimona, dans le désert du Néguev. Le missile aurait pu poursuivre sa trajectoire vers le réacteur.

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